Nourrir la ville : comment la réhabilitation d’une chartreuse et le développement de son territoire pourraient être un modèle d’agriculture durable et résilient pour nos villes ?
Volledige referentie:
Nourrir la ville : comment la réhabilitation d’une chartreuse et le développement de son territoire pourraient être un modèle d’agriculture durable et résilient pour nos villes ?, Master en Architecture, Louvain-la-Neuve, Université catholique de Louvain: Faculté d'architecture, ingénierie architecturale, urbanisme, 2024, 243 p., ill.
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[Desmedt 2024]
Trefwoorden:
agricultura, architectura, Gosnay 2 O.Cart. moniales (agricultura), Gosnay 2 O.Cart. moniales (architectura rustica), Gosnay 2 O.Cart. moniales (dispotitio rustica), Gosnay 2 O.Cart. moniales (situs suburbanus), urbanitasNotities:
Elektronisch raadpleegbaar: zie https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/object/thesis:46353.
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Abstract
L’agriculture et l’architecture ont toujours était intimement liées, depuis des siècles ces deux disciplines façonnent nos paysages. Passionnée et touchée par ces deux univers j’ai souhaité en faire mon sujet de mémoire. En réponse aux différentes problématiques que nous connaissons actuellement, j’ai souhaité travailler sur la ville de Béthune et sur la chartreuse des Dames de Gosnay. Je me suis alors demandée comment la réhabilitation d’une chartreuse et le développement de son territoire pourraient être un modèle d’agriculture durable et résilient pour nos villes ? L’idée est de rassembler l’architecture et l’agriculture dans un même projet. Cela passe par une action sur le territoire et plus précisément la création d’un paysage nourricier autour de la ville de Béthune, basé sur un nouveau système de production, de distribution et de consommation. Le tout s’accompagne de la réhabilitation de La Chartreuse des Dames de Gosnay, située dans la zone périurbaine de Béthune. La volonté du projet est de créer un lieu de production agricole à échelle humaine participatif et durable alliant culture, partage, formation, expérimentation et alimentation. Le tout au contact direct de la terre, des produits agricoles et des agriculteurs. Le projet vise à l’association de plusieurs modèles d’agriculture qui bénéficieront des nombreuses interactions entre la ville et la campagne. Le projet ne se veut pas unique mais plutôt comme un modèle pouvant se développer dans bien d’autres villes. C’est ce réseau qui permettra un tissu moins homogène et donc plus résilient qu’aujourd’hui.